L'assainissement

2020

Septembre

Août

LE RAD (Rapports Annuels du Délégataire) 2019 est sur le site (dans Les documents)

	hydrocurage	caméra
contrat avenant 2018	4 500 ml	3 000,0 ml
réalisés en 2019	904 ml	217,3 ml
réalisés en 2018	2 196 ml	2 095,2 ml

Juillet

L'arrêté 2020212-0002 du 30 juillet 2020 abroge l'arrêté du 6 août 2016 :
le branchement au réseau EU sont de nouveau autorisés en raison des engagements de renovation pris
délibération du conseil municipale - engagements pris

Si les engagements ne sont pas respecté des mesures restrectives seronts prises.

Réunion du conseil municpal du 23 juillet.

suivi d'impact de la STEP

notre demande d'information - réponse de la mairie

les pollutions marines

2019

Pluies abondantes.
Les réseaux E.U. n'étant toujours pas étanches, des E.U. mélangées aux E.P. s'écoulent directement sur les plages.
Des arrêtés ont été pris pour le signaler aux usagers.

novembre

octobre

Suite à nos courriers de relance, nous avons reçu une réponse du directeur général des services de la commune nous annonçant la mise en place des poches de contrôle à la sortie du rejet de la station

avril

Nous adressons une lettre de relance au maire de Crozon

On ne roule pas bien sur une piste défoncée.
Il vaut mieux réparer les réseaux que s'offir à grand frais une Rolls, même avec des subventions

mars

N'ayant reçu aucune réponse à notre courrier du 2 octobre, nous envoyons un second courrier de relance à chacun des destinataires précédents?
Nous envoyons aussi une copie de ce courrier pour information à la CCPCAM qui aura la compétence de l'assainissement de toute la communauté de communes.

Nous n'avons reçu que 2 réponses, une de la CCPCAM du 1 avril (un poisson?) et une de la DDTM

2018

octobre

Le nouvel arrêté autorise la restructuration de la station.

Les eaux pluviales entrent en abondance dans le réseau des Eaux Usées.
Dans son Arrêté 20180112-0004, l'administration a jugé qu'en attendant la suppression des entrées d'eaux parasites, elle autorise la restructuration de la station.
Le bassin à marée devient bassin tampon.

Le rejet des eaux traitées se fait maintenant en continu en pied de falaise au sec sur la grève et non plus à marée haute qui permettait une petite dissolution marine.

L'article 1 de cet arrêté modifiant l'article 7.2.4 de l'arrêté 2009-0554 impose un suivi microbiologique de l'impact des eaux traitées sur le milieu récepteur par des analyses trimestrielles :
- soit des coquillages présents (mais il n'y en a déjà plus !)
- soit en implantant des poches de coquillages à 50 m de part et d'autre du point d'arrivée des rejets.

Des adhérents sont allés sur place en septembre. Selon eux, rien n’a encore été mis en place pour effectuer ce suivi mais ils ont par contre constaté des mares d'eaux troubles nauséabondes sur place ainsi qu'une prolifération des algues vertes.

C'est pourquoi nous avons adressé un courrier à la Préfecture pour que l'arrêté soit appliqué.

Ces bassins tampons ne dégagent pas pour autant la commune de ses obligations d'entreprendre des travaux pour rendre le réseau des EU étanche, la création des bassins tampons n'étant qu'une solution d'attente.

janvier

Ayant lu dans les RAD (Rapports Annuels du Délégataire) 2015 et 2016 que l’Île Longue rejetait un volume conséquent d’EP et d’eau de mer dans les réseaux d’EU de la commune et supposant qu’elle l’ignorait, je me suis permise d’en informer le SID (anciennement les TM –travaux maritimes- équivalent de la DDE pour la marine) en lui demandant ce qu’il comptait faire pour y remédier et à quelle échéance.
Ce courrier envoyé le 25 octobre 2017 n’a toujours pas eu de réponse.
Aussi nous le publions sur notre site afin de le rendre public.
Chacun pourra constater que les militaires comme les communes se désintéressent de la pollution et de la protection de notre environnement.

Courrier à l'Ile longue

Réponse de l'Ile Longue

2017

Conseil municipal du 9 novembre

500 000 € pour l’accueil des eaux pluviales à la station.

A Lanvéoc, la police de l’eau exige que la municipalité sépare les réseaux pour que les pluviales n’arrivent pas à la station.
A Crozon, l’agence de l’eau subventionne l’accueil des eaux de pluie.

Que comprendre de l’administration?

Comme on ne peut empêcher l’entrée des eaux pluviales dans le réseau d’eau usée tant celui-ci est en piteux état, on transforme le bassin à marée en bassin tampon.
On ajoute un petit bassin pour l’eau traitée qui sera rejetée en pied de falaise, en continue
Ainsi, l’accord de la police de l’eau et de l’agence de l’eau ne fait qu’officialiser ce qui se faisait déjà officieusement à savoir utiliser le bassin à marée comme bassin tampon :
- voir les boues au fond du bassin (entre autre, dans notre courrier, dans les reportages du Télégramme et de Ouest France de mars 2016.)
- voir le by-pass mis en place par le maire précédent, et démoli sur ordre de la préfecture car illégal (dans notre historique de la station).

Plusieurs jours de grosses pluies et les 5 600 m³ de l’ensemble des bassins (de traitement et de tampon) ne suffiront pas à contenir toute l’eau de pluie. Rappelons qu’il peut y avoir jusqu’à 8 000 m³/j qui arrivent à la station.
Il est à craindre que l’on revoit les EU arriver à Lostmarc'h car il est bien naïf de croire que l’eau stockée retourne se faire traiter.

Ces travaux : Un emplâtre sur une jambe de bois

Ne serait-il pas plus judicieux de subventionner les travaux de réparation de réseau?
Si l’agence de l’eau a trop d’argent, elle pourrait commencer par subventionner les particuliers qui n’ont pas encore de branchement correct.

Et de nouvelles membranes vont être mises en place : est-ce pour remplacer/compenser les 4 200 défectueuses ?

Comme l’a dit l’opposition : ce n’est qu’une aspirine qui ne soigne pas.
Et malgré cette réflexion, ces travaux ont été votés à l’unanimité !!!
Que comprendre de nos élus ?

Deux précisions pour M. Corner qui s’est fâché tout rouge en criant :

1- Avez-vous vu la quantité de pluie tombée en le 1er janvier et mars 2016. C’est normal que le réseau des EU déborde !
Ah bon ! Le réseau EU n’est donc pas étanche ! Ailleurs, ce sont les réseaux d’eaux pluviales qui débordent en période de pluie.

2- On nous demande une qualité de l’eau de rejet supérieure aux normes françaises et européennes.
M. Corner oublie de préciser que ces normes sont pour une arrivée d’émissaire réglementaire sous la mer en permanence. Or à Crozon, le rejet se fait au pied de la falaise et jusqu’ici à marée haute même si celle-ci ne couvre pas toujours l’extrémité de l’émissaire de rejet.
C’est un accord négocié entre l’administration et la municipalité : une excellente qualité de rejet ou le prolongement de l’émissaire jusqu’au niveau de basse mer tout le temps.
La municipalité a choisi l’excellente qualité !
Avec l’autorisation d’un rejet permanent qu’impose la disparition du bassin à marée, le rejet se fera à l’air libre, sur les rochers de la plage. La qualité sera encore plus indispensable.